METZ
Belvédère de Jaumont
Hôtel de Tschudi & Hôtel de Mazelle
Trois siècles d’architecture, Un voyage dans le temps
Pour parcourir le temps et les siècles il suffit parfois de quelques pas. Passer à sa guise de l’Hôtel de Tschudi, au temps des Lumières, à l’Hôtel de Mazelle, témoin d’un XIXe siècle effervescent. À peine plus loin et ce sont les années folles que l’on aborde en gravissant l’escalier Art déco du Belvédère de Jaumont.
Le Belvédère de Jaumont
18, rue Haute-Seille – Art déco et années folles
Une façade en pierre de Jaumont appelée ici « pierre de soleil ». Des lignes géométriques épurées et de hautes baies. Une triple porte d’entrée en ferronnerie ouvragée. Un imposant escalier en marbre surplombé de décors en stuc et puis… de vastes espaces, ouverts et lumineux. Théophile Dedun, architecte réputé, a respecté tous les codes du style Art déco lorsqu’il a imaginé ce remarquable immeuble inauguré en 1933.
L’Hôtel de Tschudi
35, rue Mazelle – Elégance et classicisme du XVIIIe siècle
Une fois franchie la grande porte cochère qui marque la rue Mazelle, une cour pavée conduit à un Hôtel Particulier érigé au XVIIIe siècle pour le baron de Tschudi, avocat et Bailly de Metz. Pierre de taille, toits en ardoise, chiens assis, larges travées, linteaux en arc segmentaire, fronton… confèrent à l’Hôtel Particulier élégance et prestige. Une demeure à l’image de l’ancien chef de la noblesse du pays messin.
L’Hôtel de Mazelle
37-39, rue Mazelle
Impossible, depuis la rue, de soupçonner sa présence. Pourtant, derrière une porte en bois – massive – une élégante façade, flanquée de deux tours, surplombe la cour pavée, comme une invite à se rassembler. Nulle trace de cocher. Le XIXe siècle est passé… mais l’élégance est restée. Dans les règles de l’art, des artisans s’apprêtent à la révéler.
- 112 appartements
- du T1 au T4 duplex avec balcon, jardin, terrasse et parking
- quote-part travaux : 75 %
- prix à partir de 120 500 €